Le 11 novembre dernier, le Théâtre du Châtelet a accueilli une journée exceptionnelle autour de la méditation, mettant en présence les plus grands noms venus d’horizons et d’obédiences diverses. Depuis plusieurs années, Fabrice Midal avait le souhait d’organiser un tel événement : réunir ceux qui, aujourd’hui, parlent sérieusement de la méditation, la pratiquent, la présentent, voire l’enseignent.
C’est le partenariat entre le magazine La Vie et l’École occidentale de méditation qui a finalement rendu possible cette rencontre unique, offerte à 2.000 personnes curieuses d’en savoir plus sur la méditation et sur la manière dont elle s’ancre à présent en Occident. Un cadre magique, 8 mois de préparation, 4 heures pour tout installer et 20 bénévoles au service de la situation ont permis d’entendre tour à tour le médecin Christophe André, le bouddhiste Matthieu Ricard ou encore les chrétiens Jean-Marie Gueullette et Sheelah Trefle Hidden.
Fabrice Midal, qui dirigeait la journée aux côtés de la rédactrice en chef Élisabeth Marshall, a également donné la dernière causerie. Lorsqu’il a transmis la pratique de la confiance à un auditoire attentif, la qualité de présence était particulièrement tangible. Comme elle le fût lors des dédicaces de clôture données par chaque intervenant, suivies d’un silence long, précieux et devenu si rare.
Cette journée fût une démonstration éloquente de la place de l’École aujourd’hui et de l’engagement de ses bénévoles.
Marie-Laurence Cattoire
C’est le partenariat entre le magazine La Vie et l’École occidentale de méditation qui a finalement rendu possible cette rencontre unique, offerte à 2.000 personnes curieuses d’en savoir plus sur la méditation et sur la manière dont elle s’ancre à présent en Occident. Un cadre magique, 8 mois de préparation, 4 heures pour tout installer et 20 bénévoles au service de la situation ont permis d’entendre tour à tour le médecin Christophe André, le bouddhiste Matthieu Ricard ou encore les chrétiens Jean-Marie Gueullette et Sheelah Trefle Hidden.
Fabrice Midal, qui dirigeait la journée aux côtés de la rédactrice en chef Élisabeth Marshall, a également donné la dernière causerie. Lorsqu’il a transmis la pratique de la confiance à un auditoire attentif, la qualité de présence était particulièrement tangible. Comme elle le fût lors des dédicaces de clôture données par chaque intervenant, suivies d’un silence long, précieux et devenu si rare.
Cette journée fût une démonstration éloquente de la place de l’École aujourd’hui et de l’engagement de ses bénévoles.
Marie-Laurence Cattoire
Paris