Cette citation paradoxale m’a profondément troublé tout autant qu’elle a marqué un tournant sur mon chemin de pratiquant. En effet, elle nous montre comment l’expérience méditative est une aventure existentielle nous ramenant à la maison.
La vie dans cette maison ne ressemble pourtant pas à l’idée que nous en avons trop souvent : elle n’est pas l’espace du confortable où nous pouvons nous fixer sur une identité particulière, un moi, un ego.
Au contraire cet espace primordial retrouvé est le lieu de la grande confiance où nous pouvons assumer la liberté de s’unir avec le mouvement naturel du monde.
Nous pouvons également prendre le risque d’ouvrir en grand les portes de notre cœur. Nous sommes alors amoureux du monde(en un certain sens).
Pratiquer la méditation c’est cultiver ce sens du courage nous rendant capable de défaire les schémas de nos habitudes et les fers de nos crispations pour rentrer à la maison.
La vie dans cette maison ne ressemble pourtant pas à l’idée que nous en avons trop souvent : elle n’est pas l’espace du confortable où nous pouvons nous fixer sur une identité particulière, un moi, un ego.
Au contraire cet espace primordial retrouvé est le lieu de la grande confiance où nous pouvons assumer la liberté de s’unir avec le mouvement naturel du monde.
Nous pouvons également prendre le risque d’ouvrir en grand les portes de notre cœur. Nous sommes alors amoureux du monde(en un certain sens).
Pratiquer la méditation c’est cultiver ce sens du courage nous rendant capable de défaire les schémas de nos habitudes et les fers de nos crispations pour rentrer à la maison.
Mathieu Brégegère
Paris