« Dans la pratique de la Pleine présence, nous laissons être ce qui nous concerne. Si une douleur est là, lancinante, plutôt que d’essayer de s’en débarrasser, le geste est de la laisser prendre sa place.
Pas toute la place, mais sa place, dans l’ensemble de la situation, sans nous couper de toutes nos sensations, des autres et du monde ».
Pas toute la place, mais sa place, dans l’ensemble de la situation, sans nous couper de toutes nos sensations, des autres et du monde ».
Un petit extrait de l’enseignement
« la dimension bienveillante de la Pleine présence » donné par Clarisse Gardet à Bruxelles dimanche 4 décembre dernier
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