Pendant de nombreuses années, j’ai considéré le travail comme un labeur dont j’étais l’obligé, je me sentais prisonnier de cette nécessité sans en comprendre le sens.
Adolescent, je passais des heures angoissantes attablé à mon bureau : rien ne se passait.
« Travail » : ce mot me faisait froid dans le dos.
Aujourd’hui, en trouvant ma voie, ma vie est devenue un chemin où j’ai pu apprivoiser cette notion en même temps que j’ai accepté de donner plus d’ampleur à mon existence.
« Travail » : ce mot me faisait froid dans le dos.
Aujourd’hui, en trouvant ma voie, ma vie est devenue un chemin où j’ai pu apprivoiser cette notion en même temps que j’ai accepté de donner plus d’ampleur à mon existence.
Travailler ne me fait plus peur, au contraire, le travail est devenu la source centrale de mon épanouissement.
Dans cette perspective, comme le révèle le poète Rainer Maria Rilke, le travail se confond « avec ta nature au point que tu ne puisses faire autrement que t’affirmer en lui. » (Rilke, Le Testament, IN « Rainer Maria Rilke, l’amour inexaucé » – textes choisis et présentés par Fabrice Midal).
Dans cette perspective, comme le révèle le poète Rainer Maria Rilke, le travail se confond « avec ta nature au point que tu ne puisses faire autrement que t’affirmer en lui. » (Rilke, Le Testament, IN « Rainer Maria Rilke, l’amour inexaucé » – textes choisis et présentés par Fabrice Midal).
Mathieu Brégegère
Paris
Magnifique chemin que celui que tu dépeins !
RépondreSupprimerOui, "travailler c'est vivre sans mourir". A ce moment là, c'est le travail qui nous tient véritablement debout.
Merci pour ton commentaire Marie-Noele, bonne journée.
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